L’amour ne suffit pas
Je ne suis que paradoxe : sensible et dure, fragile et forte, rationnelle et hystérique. Rire le jour, et pleurs la nuit. Même mon visage reflète ce paradoxe. Les autres voient le sourire, l’enthousiasme et la spontanéité. Mais ils oublient de regarder les yeux. Ces yeux qui racontent les larmes, qui disent la détresse de l’âme. Pourtant, il faut s’aimer suffisamment pour accepter, grandir et prendre de la valeur. Aimer…